top of page

Presse L'Enfant qui est né deux fois

" La spécialité de Mélancolie Motte est de rendre théâtral ce qui ne l’est normalement pas. (Dans son spectacle "L'Enfant qui est né deux fois"... ), les parents seront par exemple, des planches de bois. Les assembler formera une habitation. Leur présence sera parfois d’être obstacle, parfois appui, parfois décor. Car la manière de les utiliser leur donne statut d’image. Une fois ce postulat admis, tout est possible même l’incroyable, même l’absurde, même l’invraisemblable. (...) Les fameuses planches du début finissent par devenir de véritables partenaires à son seule-en-scène. Elle laisse à chacun la liberté de réfléchir sur, de croire à, de rejeter : des croyances en l’animisme, la métempsycose ou autres mystères spirituels."  Web Théâtre

“ La magie du théâtre est de pouvoir tout raconter, expliquer, montrer à partir d’un plateau quasi nu. Mélancolie Motte excelle dans cet art par une diction, un phrasé impeccable ainsi qu’une gestuelle savamment pensée. Sa silhouette élancée fait corps avec trois planchettes carrées en bois. L’une, en plexi translucide, réservera quelques belles surprises visuelles.” Journal UFAPEC, Les Parents et l’école N° 118

Presse "Et toi tu Même ?"

 

« Mélancolie Motte, sans doute l’une de nos meilleures conteuses » La Libre.be

« Mélancolie Motte n’est pas une conteuse, c’est une charmeuse de serpents.  Dans le rôle du cobra hypnotisé ? Nous, spectateurs. L’artiste n’a même pas besoin de nous caler dans une corbeille ou de sortir son pungi, sa voix et sa présence sur scène suffisent à nous envoûter sur place. Il convient de saluer la constance avec laquelle la comédienne défend l’art du conte. Peu importent les modes qui secouent le paysage de la scène jeune public – fureur du théâtre d’objet ici, nouveau chic des décors ultratechnologiques par là – Mélancolie Motte ne déroge pas d’un iota à son crédo : une scène nue et une sacrée bonne fable dans sa besace (…) La bateleuse a beau respecter une forme de tradition, elle n’en est pas moins perméable à l’air du temps. C’est donc du côté du féminisme mais aussi des questions très actuelles autour du genre que fraye sa nouvelle création Et toi tu Même ? (…) Telle Shéhérazade, Mélancolie Motte va aligner une multitude de récits, le caractère terre à terre de son interprétation des personnages contrastant avec les contours fantastiques de ses histoires. On se laisse doucement porter par ce seul en scène à la fois poétique et engagé, qui creuse les parts féminines et masculines qui coexistent en chacun de nous. » Le Soir.be

«  Mélancolie Motte, conteuse talentueuse, aborde la question de l’identité sexuelle et de l’égalité dans Et toi tu Même ?, d’une grande actualité. Seule sur scène dans un dispositif d’une radicale sobriété, elle va à l’essentiel. Le texte doit pour elle être nourri, actuel et interpellant (…). En décloisonnant les genres, l’artiste invite à accepter la part de féminité, de masculinité et sans doute de sauvagerie qui existe en nous. Une histoire à tiroirs qui exige une certaine concentration mais qui ne manque pas d’intérêt. »

La Libre.be

« Rien de plus sobre que le plateau sur lequel Mélancolie Motte racontera des histoires construites habilement comme des contes séculaires mais dont la modernité s’affiche dans leur contenu. Car ces histoires, précisément, prennent d’autant plus sens que la conteuse-comédienne se sert du dépouillement scénique pour que l’attention se porte sur l’écoute des mots, se nourrisse de ses mouvements et de ses gestes mesurés autant que révélateurs, s’accroche aux éclairages subtils qui la mette en valeur. L’option d’incarner sans caricaturer, ni dramatiser rejoint l’essence même de la légende partagée au coin d’un feu, autour d’une personne qui narre des récits anciens chargés d’une certaine expérience morale, qui partage une fable porteuse d’une leçon de vie à destination d’une communauté sans insister sur un contenu rassembleur. Ici, l’opposition entre les trois récits et l’obstination bornée d’un notable, chasseur invétéré et sexiste congénital rend ce contenu évident qui pulvérise les poncifs hérités du passé et réactivés par certains réseaux sociaux réactionnaires bornés. La question du genre n’est pas l’enjeu du spectacle. Elle reste en filigrane tandis que Mélancolie Motte met en lumineuse évidence que la différenciation sexuelle n’est pas à l’avantage des hommes ou des femmes. Elle met les uns et les autres à égalité dans les forces et les faiblesses qui les composent. » WebThéâtre

" (…) La joie de découvrir en avant-première la nouvelle création de Mélancolie Motte. Intitulé Et toi tu même ? Histoires pour rêver à l’égalité.  Mélancolie Motte sait allier à merveille des histoires issues de la tradition orale à une réflexion sur des questions très actuelles, ici les genres, les relations entre hommes et femmes, l’inégalité des sexes. Elle poursuit et approfondit son travail sur la gestuelle et le langage du corps, ce sont même parfois ses gestes qui nous racontent une histoire à la place des mots. La mise en lumières (avec notamment un habile jeu sur les ombres projetées de la silhouette de la conteuse sur les murs de la salle) est particulièrement réussie, de même que l’habillage sonore. »  Le Monde.fr

 

Presse La Femme Moustique

 

« Monstre, métamorphose, cruauté, pouvoir et oppression d'un côté, enfant, force, patience, habileté et amour d'un autre composent les fils de ce récit où le merveilleux côtoie le monstrueux. MM les tisse avec art, puisant sa matière dans des contes traditionnels. Son interprétation précise, presque chorégraphiée, est un entrelacs de mots et de gestes qui se répondent et se complètent. Sur un plateau nu, elle convoque personnages et fait naître paysages. Avec une création lumière qui habille les espaces et une composition sonore qui souligne les différentes ambiances, ce seule-en-scène fait trembler, passant de la cruauté à l'intelligence, de la noirceur à la lumière. » (Télérama)

« Mélancolie Motte a réussi, seule, sans décor ni artifice, avec élégance et un texte dense, à capter de manière formidable l'attention de toute une salle, même épuisée en fin de festival. Il en faut du talent pour tenir le spectateur en haleine tout au long de « La Femme Moustique », Conte Monstrueux du Merveilleux » qui dénonce les ravages de l'amour et de la tyrannie. La conteuse reste fidèle à elle-même, loin des sirènes de l'air du temps. Un choix artistique audacieux et judicieux. »

(La Libre Culture)

« On pouvait entendre une mouche voler pendant La Femme Moustique tant l'écoute était exceptionnelle au seul en scène de Mélancolie Motte, qui plonge dans une histoire cruelle mais tellement belle où l'on croise des ogresses, des mères cannibales, une reine sanguine, et un enfant né des ténèbres qui montrera pourtant la lumière. Sans aucun décor ni accessoire, la conteuse emplit notre espace mental de mille mythologies galopantes. Enfin un spectacle qui ne reste pas plaqué à la réalité des enfants, mais ose la sobriété, la poésie, pour les sortir de leur quotidien remuant et assourdissant. (...) Les ados aussi sont capables de rêver. Osons d'autres univers, et pas seulement des histoires copiées de leur mur Facebook ou de leurs jeux vidéo. » (Le Soir)

« Mélancolie Motte a tissé un récit magnifiquement construit qui oscille entre quotidien et surnaturel monstrueux. Les thèmes sont riches, celui de la dictature, de la relation mère/fils, du pouvoir des hommes, des relations entre femmes, de la métamorphose…Seule en scène, soutenue par une création sonore et musicale, qui n'intervient que pour enrichir la dramaturgie, éveiller nos sens, elle nous tient totalement en haleine par sa présence fine et malicieuse, l'élasticité de son corps capable de se métamorphoser sans cesse, la beauté de son chant. Jamais elle n'illustre, ni ne caricature, elle vit pleinement cette histoire de dévoration, en endossant tous les personnages, de l'enfant à la femme moustique en passant par les sept femmes ou l'énorme ogresse, semblant sortie tout droit du "Voyage de Chihiro" de Miyazaki. Avec de nombreux niveaux de lecture, sans aucune morale attendue, dans la description de la subtilité et des contradictions de l'âme humaine, elle nous a fait rire et trembler. » (Bubblemag)

« Unique en son genre. Un subtil mélange entre une parole très fluide, particulièrement mélodieuse et une gestuelle harmonieuse, souvent proche de la danse. Une mise en scène très chorégraphiée, bien mise en valeur par une création sonore de qualité et une création lumières très réussie. Si la mise en forme du récit est d’une grande qualité esthétique, le fond n’en est pas moins travaillé et particulièrement réfléchi. Il recèle des interrogations complexes sur les relations humaines et sur la société dans laquelle nous vivons: pourquoi et comment résister face à un pouvoir qui nous opprime ? ... Petits et grands pourront y trouver matière à rêver, s’évader dans l’imaginaire, se faire peur, rire, réfléchir, s’interroger sur soi-même ... »  (Le Monde.fr)

 

« Le moindre geste de l'artiste, de l’ampleur d’un mouvement de bras à son positionnement précis sur le plateau, est passé au crible par le metteur en scène. Harmonie parfaite entre texte, gestuelle, musique et lumières. Derrière les aventures épiques d’un jeune garçon qui découvre le monde, se cache une réflexion plus profonde sur les dérives de la dictature, sur les relations entre hommes et femmes, sur les rapports entre une mère et son enfant... En fin de compte, un récit en apparence très linéaire et simple peut receler de multiples significations cachées et renvoyer à une réalité beaucoup plus complexe. »

Magazine de la Parole (La Grande Oreille)

« Ce texte poétique a été magnifiquement servi par Mélancolie, une interprète à la diction parfaite et à la gestuelle très expressive, passant avec aisance de la cruauté  de la Femme Moustique à la malice de l'enfant héros de cette histoire. C'est une vraie performance mise en valeur par une bande sonore discrète et les éclairages évoquant tour à tour les ténèbres des profondeurs et la lumière crue du monde extérieur. » (La Nouvelle République du Centre-Ouest)

« Seule en scène, Mélancolie Motte fait revivre un conte issu d’un patrimoine culturel autre que le nôtre. Derrière un mélange de merveilleux-monstrueux, elle nous lance quelques messages forts. Le récit comporte moult épisodes et métamorphoses comme il sied à cette littérature destinée à donner des leçons de vie à ceux qui la lisent ou l’écoutent. Les pistes sont multiples. Celle du pouvoir détourné vers le mal. Celle de la soumission des femmes à une condition subalterne. Celle d’un enfant dans ses relations avec sa mère et son père. Celle des métamorphoses, des ogres, des pouvoirs magiques. Celle de la symbolique des animaux, des épreuves à passer, de la découverte du réel confronté au savoir. Celle enfin de la solidarité.

Mélancolie Motte s’est emparée de cette histoire qu’elle a réécrite. Elle la restitue avec une riche énergie vocale et physique. Sans chercher à produire des effets, elle met son corps au service de l’espace, incarnant des personnages multiples sans tomber dans le caricatural. Sa sobriété va de pair avec une maîtrise des mots, des gestes, des mimiques. Le tout accompagné par une variété d’éclairages subtils et une bande son suggestive qui évoquent la diversité des lieux et des moments traversés.

Ce spectacle presque nu porte en lui des enseignements plus profonds que les invraisemblances liées à la tradition car la sagesse qui se dissimule sous les récits contés a de quoi nourrir non seulement notre imaginaire mais aussi notre réflexion philosophique. » (Rue du Théâtre, Coup de Coeur juillet 2017)

Presse Nanukuluk, l'Enfant Sauvage
 

"Une silhouette longiligne et gracieuse, une gestuelle très délicate qui rappelle souvent celle des danseuses, et surtout une virtuosité étonnante dans l’art de conter des histoires avec une élocution quasi-parfaite, un sens du rythme et un phrasé mélodieux." (Le Monde)

 

"Aux Rencontres Théâtre de Huy, une forme singulière et audacieuse:  « Nanukuluk, l'enfant sauvage » avec Mélancolie Motte à l'écriture et au jeu d'une envoûtante création. Seule sur un plateau nu, avec une présence à faire fondre la banquise, Mélancolie Motte nous captive une heure durant, ses mots, tout simples, abordant un thème universel : trouver la liberté d'être ce que l'on veut être ». (Le Soir)

 

"(...) La conteuse offre avec virtuosité les pages d'un émouvant récit. Elle a choisi l'épure. Celle d'une silhouette découpée dans l'immensité d'un horizon, la scène blanche, infinie. Celle d'une géométrie inventive du plateau, puisque les éclairages suggèrent des espaces comme autant de cahiers intérieurs. Celle d'un chant profond, venu de contrées oubliées, battant au rythme d'un coeur rebelle ou meurtri. Celle d'une quête résolue, capable de rejoindre les aspirations de chaque spectateur. Les obstacles à franchir, les rebondissements de l'action font partie de l'aventure initiatique que porte une énergie sobre, contenue, chorégraphiée et mise en scène par Albero Garcia Sanchez. Mélancolie Motte appartient à la lignée des grands conteurs, ceux qui font vibrer la salle avec une parole universelle (...)" (Le courrier de l'Escaut)

 

"Dans un style très épuré puisqu’on entre dans le registre du conte, Mélancolie Motte livre avec une grande maîtrise "Nanukuluk, l’Enfant sauvage", inspiré d’un dessin animé, "L’enfant qui rêvait d’être un ours", dont elle a réécrit le texte. Seule en scène, et sans aucun artifice mais avec une très belle physicalité, elle nous emmène au Grand Nord pour explorer à travers moult rebondissements ce thème de l’enfant sauvage, de l’enfant racine - puisqu’enlevé par une ourse, il perd ses parents -, de l’enfant désiré et de la quête d’identité. Par quelles épreuves ne faut-il passer ? Quelles souffrances ne doit-on (s’)infliger pour devenir soi ? Un conte qui rappelle qu’on élève nos enfants à partir et qu’il faut leur donner non seulement des racines mais aussi des ailes." (La Libre Belgique)

 

"Un plateau nu, mais nu de nu d’avant l’apparition de l’appellation ‘théâtre’. Et là, sans autre appoint qu’une parole, un corps et une sensibilité, une conteuse-comédienne-actrice vous rient en haleine durant cinquante minutes. L’histoire est conforme à la tradition du conte. Elle contient des événements liés au merveilleux. Elle met en jeux des personnages parlant qui sont sur le même plan, qu’ils soient humains ou animaux. Elle se structure en successions d’épisodes dans lesquels il faut franchir des obstacles, être victorieux des opposants et de ses propres peurs. Elle est chemin d’une initiation à la vie.  Avec cette littérature immémoriale, réécrite avec élégance par Mélancolie Motte, voici monté, en solo, un spectacle véritable dont elle est la voix, le geste, la parole, le décor, les personnages. La matière, c’est elle qui module son discours, qui invente des attitudes non illustratives quoique accompagnatrices de la narration.  Son visage est mobile sans jamais tomber dans la grimace. Sa voix prend les nuances et les tonalités que requièrent le sens des mots, la personnalité des protagonistes. Son corps a la souplesse pour devenir fluidité, rudesse, douceur, agressivité, repli, élan. Sa générosité ne déborde pas, elle se transmet telle quelle à la salle.  Alors, les aventures de Nanukuluk, nouveau Mowgli du pôle nord, qui cherche à savoir comment assumer sa vie (est-il ours ? est-il homme ?) deviennent celles de tout le monde : de parents qui aimeraient garder leurs enfants mais savent qu’ils doivent un jour quitter la famille, de descendants qui se sentent parfois métis dans une généalogie dont ils ne sont en rien responsables." (Rue du Théâtre, quotidien du spectacle vivant)

" L'artiste, comédienne, mime et conteuse,a fait voyager son public dans un monde imaginaire et poétique. Cinquante cinq minutes pendant lesquelles les spectateurs ont été transportés dans le Grand Nord parmi les Inuits. "J'étais tellement dans l'histoire que j'avais froid. Je croyais que j'étais dans le neige!"avoue Sarah,9 ans, ravie. Un beau succès." (La Charente Libre)

 

"Dans ce monde imaginaire où la douceur se heurte à la douleur, Nanukuluk entouré de l'amour de ses parents comme de celui de sa maman ourse a trouvé en Mélancolie Motte l'interprète idéale de ses sentiments(...). Dans une mise en scène d'Alberto Garcia Sanchez, prix Molière du théâtre jeune public 2011, avec la mise en lumière de Jocelyn Asciak, ce conte a trouvé une autre intensité.(...)L'histoire de Nanukuluk a transporté la salle dans un autre univers. De chaleureux applaudissements remerciaient l'artiste pour son talent et sa modestie." (La Charente Libre)

 

"Ce spectacle dont Mélancolie Motte est à la fois la voix, le geste, la parole, le décor, les personnages, a captivé le public. Ils ont aimé Mélancolie et ses yeux pétillants, son corps souple tout en douceur ou en rudesse, repli ou agressivité. Ils ont aimé cette histoire si bien racontée et si bien jouée qu'ils ont suivi le chemin de Nanukuluk sans jamais le perdre de vue. L'Enfant sauvage va rester longtemps accroché à leur mémoire." (Le journal de la Haute-Marne)


Presse Spectacles anciens

 La Mer et Lui

 

"(Avec le spectacle de la Mer et Lui...), l'art ne se limite pas à la parole. Il est aussi dans la mise en scène, assurée par Olivier Letellier. Cette piscine qui se module au gré de notre diseuse, prend vie. Sous les doigts experts de Mélancolie Motte et sous un éclairage judicieux, elle se transforme tour à tour en lunettes de soleil, surf, bateau et autres objets, ,illustrant superbement le récit. Une belle prouesse d'artiste, conteuse et metteur en scène confondus. Un récit plein de vie qui a captivé l'auditoire". (Marie-France Luciez, La Voix du Nord)

"Dès le début du récit, les mimiques du visage, les contorsions du corps, la gestuelle empruntée aux ballerines et les silences imposés de la comédienne belge font mouche. Le conte se met rapidement en place, au gré du vent, des remous et des marées, avec des mots très appropriés, propres à l'univers des chalutiers. La scène se déroule dans une piscine, portion incongrue de la « Grande Bleue », où s'ébattent touristes, mouettes, marins pêcheurs, coquillages et crustacés.
Les nombreux enfants et autres moussaillons présents ont bu ses paroles limpides comme de l'eau, tandis que les adultes se laissaient guider par la barque joyeuse et interrogative du récit. Un spectacle vivifiant, soucieux de préserver notre environnement, qui a permis à tous de suivre les méandres d'un texte qui fait la part belle à cet « or bleu ». Un message salvateur, sorte d'ode à la vie marine et subaquatique. Mélancolie Motte nous transporte, nous mène en bateau, en nous faisant rêver et voyager."(Nicolas Toussaint, L'Est Républicain)

 

"Un texte bien écrit, quelques projecteurs, une petite piscine gonflable rouge à fond bleu achetée dans une grande chaîne de magasins de loisirs, un metteur en scène ingénieux et une interprète hors pair : voilà pour les bagages d’embarquement. Laissez-vous emporter, balloter, transporter par le récit d’un capitaine à la retraite retiré au quatorzième étage d’un immeuble, en manque de mer. Son idée phare : pourquoi ne pas la demander en mariage
puisqu’elle est célibataire, la mer ? Aucun danger pour vous de chavirer sous le flot de paroles, vous resterez bien ancrés à cette histoire aux embruns écologiques, ébahis face aux innombrables transformations de la piscine en lieux et objets les plus inattendus." (Revue Les parents et l'Ecole)

 

"Les contes joués par Mélancolie Motte sont toujours fascinants. Cette fois, outre le texte d'une histoire étrange, elle a pris comme partenaire une petite piscie de jardin et la métamorphose en objets, situations au gré du récit (...) Mélancolie use de voix plus que de la technique. Elle donne vie à ce dont elle parle. Elle y ajoute, cette fois-ci, une présence colorée capable de produire un effet visuel fort sur un espace nu:  une piscine de jardin bleue entourée de boudins rouges gonflés d'air. Cette piscine va devenir, au fil des phrases, un véritable inventaire d'accessoires permettant de pimenter l'histoire sans nécessairement l'illustrer (...) comme si un comparse accompagnait ce seule-en-scène. Derrière les péripéties de cette fiction de haute fantaisie, traitée tout en délicatesse, se profilent des thématiques très actuelles telles que le changement climatique, les sécheresses récurrentes, la pollution maritime, la pêche sans frein...d'autres restent éternelles: la solitude, le vieillissement, la nostalgie d'une existence antérieure, le besoin d'espace vital." (Michel Voiturier, Revue Rue du Théâtre)

 

L'Eau Vive

 

«Dans son spectacle L'Eau Vive, Mélancolie est toute entière tournée vers la vie. Les mots s'enchaînent, coulent comme de l'eau d'une rivière, tantôt paisible, tantôt en furie. Ses mains rythment ses paroles, ses yeux vivent son histoire(...). Les aventures que vont vivre Papi et Ali son petit fils, vont faire passer un message tout en donnant beaucoup de bon sens à leur histoire. Le silence règne dans la salle, chacun retient son souffle en attente de la suite encore et encore.» (Sud Ouest)

 

"L'Eau Vive: un véritable bain de jouvence qui a mis l'eau à la bouche des spectateurs, biens décidés à assister à d'autres représentations du festival" (La Voix du Nord)

"Dès le début, les mimiques du visage, les silences de Mélancolie, la mise en place du récit avec des mots de tous les jours ont fait mouche. Les enfants ont bu ses paroles limpides tandis que les adultes se laissaient guider par la barque joyeuse et interrogative du récit. L'Eau Vive a permis à tous de suivre les méandres d'un texte qui fait la part belle à cet or bleu." (La Voix du Nord)

Histoire de Marché(r)

"Cette artiste complète a su utiliser la palette très étendue de ses ressources expressives pour éveiller et entretenir l'imaginaire de son public. Le décor planté, elle a emmené petits et grands à travers les 6 kms de dédales du grand "Marché du Midi" de Bruxelles, faisant partager sa sympathie pour les marchands venus de tous les continents. Pour entrer en relation avec ces derniers, elle leur tire le portrait en échange d'une histoire à chaque fois extraordinaire où le courage, l'intelligence, la finesse l'emportent toujours sur la corruption, la méchanceté et la bêtise. Une bien belle leçon de vie que cette balade au marché" (Le journal de la Haute-Marne)

 

Presse Mélancolie Motte

 

«A voix nue, la conteuse tient le public en haleine par sa seule présence.  Un accord court, solaire, de la scène à la salle.  Sobriété, élan : la parole se fait ligne droite, éclat d’horizon. » (« Le courrier de l’Escaut », F.Lison)

 

«Elle avait à la fois une voix douce et autoritaire (…). Mystérieuse et vive, elle jonglait avec les mots » (Magazine de Chevilly-Larue)

 

«Derrière ce visage souriant, ces yeux malins et scintillants, se tapit une charmeuse.  Une ensorceleuse de mots, qui joue avec les phrases et les histoires. » ( G. Peyrebesse, Nice Matin)

 

«Sans doute effectivement, Mélancolie sait-elle tout faire, comédienne, mime, chanteuse, conteuse. Avec ses yeux pétillants et un rien de geste, elle a fait revivre un siècle d’épopée et nous a donné là l’une des révélations de ces treizièmes Paroles d’Hiver. Extraordinaire. » (Ouest France)

“A la qualité de l’histoire, s’ajoutent les jeux de scènes et les intonations de la voix, variant comme les bruits du fleuve au cours des marées ou les violences des tempêtes.” (Sud Ouest)

 

«Un conteur a besoin de l’énergie de son public pour dynamiser son oeuvre et l’artiste belge Mélancolie a réussi à captiver dès les premiers mots en l’invitant à explorer le monde de l’imaginaire » (Voix du Nord)

 

bottom of page